C'est drôle comme le mot « cadre » peut sonner dur.
On l'associe souvent à une contrainte, à quelque chose qui enferme, qui limite, qui bloque la créativité.
Mais moi, ce que je vis en ce moment me prouve exactement l'inverse.
Ce n'est pas le manque de cadre qui me rend libre.
C'est justement lui qui me permet de respirer.
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Je l'ai vu dans ma maison. Je le vois aujourd'hui dans mon activité.
Quand tout repose sur toi, sans structure… tu deviens ta propre charge mentale.
Tu passes ta journée à penser à ce que tu n'as pas encore fait, à courir après des urgences qui ne sont pas toujours les tiennes.
Et tu t'épuises.
Pas parce que tu n'as pas d'énergie. Mais parce que tu n'as pas de fondations pour la canaliser.
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Le cadre, c'est l'inverse d'un enfermement.
C'est un soutien invisible.
Un peu comme un bon meuble de rangement :
ce n'est pas lui qu'on remarque, mais c'est grâce à lui que tout trouve sa place.
Quand j'ai construit mes routines, quand j'ai écrit mon guide , je l'ai fait pour ça.
Ne pas tout verrouiller.
Mais pour libérer ce qui compte.
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Parce que quand tu sais où vont les choses, tu gagnes du temps, de l'espace et de la paix.
Tu arrêtes de faire et de refaire.
Tu n'as plus besoin de penser à tout.
Tu sais. Tu fais. Tu en profites.
Et cette clarté-là, c'est un luxe.
Un luxe qu'on peut choisir, même dans un quotidien imparfait.
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Aujourd'hui, je remets du cadre dans mon activité.
Pas pour produire plus.
Mais pour revenir à l'essentiel.
Et toi, peut-être que ton cadre commence chez toi.
Dans ta cuisine. Dans ta salle de bain.
Dans ces petits gestes quotidiens qu'on croit anodins… mais qui, mis bout à bout, peuvent transformer ta façon de vivre ton espace.
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Chez moi, le cadre n'a jamais été une prison.
C'est ce qui m'a rendu libre.
Et je crois profondément qu'il peut faire pareil pour toi.
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