... et le passage à la Cleanlife.

Il n’y a pas eu de discours, ni de réunion familiale.

Il y a eu un ras-le-bol.

Et une décision silencieuse, mais puissante : reprendre les rênes de ma maison.

Et tu sais quoi ? Ce n’était pas un sacrifice. C’était une reprise de pouvoir.

On a souvent peur que “prendre les devants” signifie “tout porter”. Mais moi, j’ai compris que le vrai leadership, c’est l’élan. Quand tu t’élèves, ça se ressent. Et les autres finissent par suivre.

C’est ça, pour moi, le début de la Cleanlife : pas une répartition parfaite, mais une nouvelle dynamique.

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Qui n’a jamais râlé en nettoyant ?

Qui n’a jamais dit, entre deux soupirs :

« J’en ai marre, je suis la seule à tout faire ici. »

… tout en continuant à nettoyer ?

On rêve d’un changement, mais on le réclame dans la plainte, pas dans l’inspiration.

Et même si la fatigue est bien réelle (je l’ai connue, cette fatigue-là), ce que l’on dégage dans ces moments-là n’attire pas.

Pourquoi quelqu’un aurait envie de rejoindre une tâche qu’on vit comme une punition ?

Le ménage ne donne envie à personne quand il est associé à la colère ou à l’épuisement.

Mais… il devient magnétique quand il rime avec paix, clarté, et mouvement.

Et c’est là que j’ai décidé de changer mon intention.

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L’intention change tout (et c’est contagieux)

Je suis partie de moi. De ce que je pouvais maîtriser.

J’ai arrêté d’attendre que ça change autour et j’ai mis en place mes routines. Mes outils. Mon organisation. Sans drame, sans exigence. Juste pour moi. Pour respirer.

Et à force d’incarner ça, sans mot d’ordre… les choses ont bougé.

Mon conjoint s’est mis à participer. Pas tout de suite, pas “comme moi”.

Mais il s’y est mis.

Les enfants aussi. Chacun à leur rythme. Chacun selon leurs possibilités.

Et j’ai compris quelque chose de fondamental :

✨ « Ce qu’on fait avec conviction devient une invitation. Ce qu’on subit devient une repousse. »

Si je ne fais que râler, ils n’auront pas envie.

Si je montre que j’avance avec sérénité, ils vont vouloir y goûter.

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Et si tu arrêtais de vouloir que ce soit “comme toi” ?

Autre déclic : quand j’ai cessé de vouloir que tout soit fait comme moi je l’aurais fait.

Tu vois la scène ? Il passe un coup d’éponge… mais pas “bien” selon toi.

Alors tu repasses derrière. Tu rectifies. Tu critiques.

Et la fois d’après… il ne revient pas. Forcément.

Si tu dis à longueur de journée :

« Personne ne m’aide. »

Tu renvoies l’idée que c’est à toi que ça revient.

Et que les autres ne font qu’aider, comme un geste charitable.

Non. Ils n’ont pas à t’aider. Ils doivent participer.

Ils vivent ici. C’est leur foyer aussi.

Alors oui, ce ne sera pas toujours parfait. Mais mieux vaut fait qu’ignoré.

Et le ménage, de toute façon, recommence demain. Et c’est là sa force : il n’y a pas d’échec, seulement une continuité.

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C’est le jour où j’ai changé ma posture intérieure que tout a changé autour de moi.

Je suis devenue la leader du ménage de mon foyer, pas parce que j’ai tout contrôlé… mais parce que j’ai incarné une autre façon de faire.

Et si aujourd’hui je peux te dire que c’est possible, c’est parce que je l’ai vécu.

Le ménage n’est pas une punition. C’est un pilier du quotidien.

Et bien mené, il devient un moteur d’harmonie. De transformation.

C’est ça, la Cleanlife.

🌿 “Lorsque tu changes la façon dont tu regardes les choses, les choses que tu regardes changent.”

- Wayne Dyer

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Dans le prochain et dernier chapitre, je prendrai un peu de recul avec toi.

On fera le bilan.

Et je te montrerai comment poursuivre l’aventure, si toi aussi tu veux construire un cadre durable, adapté à ta vie… et surtout à ton énergie.

Parce que la Cleanlife, ce n’est pas juste une belle idée.

C’est une réalité que tu peux choisir.

Parce que le ménage, ici, c’est tout sauf une corvée.

C’est un art de vivre. Et tu peux, toi aussi, choisir d’en faire une force.